Apport calorique du salami
100g de saucisson sec
C’est un concentré d’énergie avec ses 336 Kcal par portion. Riche en protides, il affiche fièrement ses 22 grammes de protéines, essentiels pour les muscles. Avec seulement 2,4 grammes de glucides, c’est l’allié parfait des régimes faibles en sucre. Enfin, le contenu en matières grasses est conséquent : on compte 26 grammes de lipides, pour ceux qui cherchent à maintenir une alimentation riche en bonnes graisses.
Quel est l’apport calorique du salami ?
Le salami, membre éminent de la grande famille des charcuteries sèches, séduit par sa coupe généreuse en rondelles délicates teintées d’un rose profond. Héritage gastronomique de l’Italie, cette spécialité s’est élancée au-delà des frontières pour conquérir les papilles internationales; désormais, elle se décline en mille et une recettes à travers le monde.
Richesse gustative rimant souvent avec apport calorifique conséquent, le salami n’échappe pas à la règle. Sa composition marie habilement viande de porc et aromates dans un équilibre où les matières grasses (environ 26 %) dominent face aux protéines (aux alentours de 22 %), tandis que les glucides se font discrets. Pour autant, ces chiffres ne sont que moyennes indicatives et peuvent varier selon la variété spécifique du salami choisi – chaque type ayant son propre cachet nutritionnel. En somme, une tranche fine ou épaisse rajoute facilement une touche gourmande aux repas tout en veillant sur l’apport énergétique – environ 336 calories pour une portion standard de 100 grammes.
Les différents types de salamis
Le salami, cette charcuterie prisée originaire d’Italie, s’est métamorphosé au fil des frontières. Imaginez-le se parant de couleurs vives en Espagne avec l’ajout de poivron et piment qui réveillent les papilles. En Suède, c’est l’ail qui lui confère son caractère unique. Quant aux nations du centre de l’Europe, elles proposent une palette où le porc règne en maître, tantôt fumé, tantôt ajusté à la saisonnalité – nos palais découvrent alors des saveurs hivernales ou estivales.
L’influence du salami a même traversé les mers pour atteindre la République Dominicaine et l’Argentine où il adopte de nouvelles identités gustatives. Et cette évolution culinaire ne s’arrête pas là : le fameux pepperoni, étoile des pizzas américaines, n’est autre qu’un cousin du salame picante italien, revisité par le goût outre-Atlantique.
Vous étiez au courant ?
En italien, salami fait référence à plusieurs variétés de saucissons secs. Ce terme dérive d’une racine commune avec le verbe « salare », évoquant l’action de préserver par le sel.
Le salami dans l’alimentation minceur
Le salami, tout comme ses cousins de la charcuterie, est un choix peu judicieux pour ceux qui surveillent leur poids. Gorgé de lipides – avec un quart de sa composition en gras et une bonne dose d’acides gras saturés à consommer avec parcimonie – il s’avère plutôt calorique. Ces calories peuvent rapidement faire basculer l’équilibre énergétique quotidien.
De plus, il ne faudrait pas sous-estimer son apport en sodium ; un excès qui peut mener droit vers des complications telles que l’hypertension ou les problèmes de rétention d’eau. Il va sans dire que le salami n’est pas l’allié du bien-être corporel.
Pour couronner le tout, les risques liés à une consommation régulière sont loin d’être anodins : l’OMS a pointé les produits de charcuterie comme étant cancérigènes. Il est préconisé d’en limiter fortement la consommation pour préserver sa santé sur le long terme.
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