100 grammes de fromage Livarot
Ce repas est un concentré d’énergie avec ses 354 kilocalories. Riche en protéines, il contient pas moins de 31 grammes, parfait pour les muscles. Les glucides se font discrets avec seulement 8 grammes, tandis que les lipides marquent leur présence solide à hauteur de 22 grammes. Un équilibre qui saura satisfaire ceux qui veillent à leur apport nutritionnel.
Vous cherchez à connaître la valeur énergétique d’un fromage typiquement normand? Le Livarot, c’est une petite bombe calorique, mais quel régal pour les papilles! À chaque bouchée de cette merveille, on avale pas mal de calories, bien sûr, mais ça vaut le coup non? On ne compte pas quand il s’agit de se faire plaisir avec un bon morceau de terroir.
Émanant de la pittoresque ville normande de Livarot, ce fromage au caractère bien trempé est une fierté locale, choyée par des labels qualitatifs tels que l’AOC et l’AOP. Fait à base de lait bovin, il se distingue par sa pâte tendre sous une croûte d’un orange vif.
L’identité visuelle du Livarot est soulignée par les anneaux qui cerclent ses flancs – leur nombre varie entre trois et cinq. Un spécimen typique affiche un poids voisinant le demi-kilogramme après un patient affinage de plusieurs semaines.
Nutritionnellement parlant, le Livarot ne fait pas dans la demi-mesure : riche en protéines et en lipides, il apporte une énergie conséquente, autour des 354 calories pour une portion de cent grammes. C’est donc un fromage qui a du corps et qui saura s’inviter sur les tables gourmandes avec panache.
Pourquoi le Livarot est-il orange ?
La teinte orangée du livarot ne se développe pas spontanément. Elle résulte soit de l’incorporation d’une bactérie spécifique, soit de l’utilisation d’un pigment issu de la végétation des zones équatoriales. Ce dernier, connu sous le nom de roucou, était traditionnellement utilisé en Amérique du Sud pour ses vertus colorantes sur la peau. Outre son rôle esthétique dans l’affinage des fromages, ce composant est reconnu pour ses bienfaits nutritionnels et sa capacité à contrer certains effets néfastes liés au stress cellulaire.
L’origine du fromage Livarot
Originaire de Normandie et figurant parmi les fromages d’antan, le livarot s’est façonné une histoire dès le XVIIIe siècle. Issu du lait écrémé, après extraction du beurre, il se distingue par son apport protéique équilibré et sa faible teneur en matières grasses.
Au crépuscule du XVIIIe siècle, l’étoile du livarot brille de mille feux grâce aux échanges commerciaux qui dynamisent la région. Toutefois, cette effervescence se ternit quelque peu avec l’avènement du XIXe siècle. Malgré tout, ce fier représentant normand conserve un atout dans sa manche : il devance toujours le camembert en termes de ventes.
Avec l’essor de la modernisation agricole, cependant, le camembert a pris le dessus sur son cousin normand. Les raisons ? Une production simplifiée, un affinage express et un besoin moindre en volume de lait pour sa fabrication. Ces avantages ont permis au camembert d’accroître sa popularité face au traditionnel livarot.
Livarot et diète
Bien qu’il ne figure pas en tête de liste des fromages les plus riches, le livarot teneur significative en lipides n’est pas à prendre à la légère. Ces derniers apportent un taux élevé de calories et sont principalement constitués d’acides gras saturés. À consommer avec modération, donc, car ils peuvent nuire à la santé et entraîner une prise de poids indésirable.
Si vous surveillez votre silhouette, il serait judicieux de privilégier les fromages frais plutôt que le livarot. Ces alternatives contiennent davantage d’eau et moins de matières grasses, se révélant ainsi plus adaptées dans le cadre d’un régime alimentaire.
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