Apport calorique du foie gras
Une portion de 40 grammes :
Calories : 182 Kcal
- 18g de lipides
- 1g de glucides
- 4g de protéines
Quantité calorique présente dans le foie gras
En Europe, trois sortes de foie gras se distinguent : ceux issus d’oie, de canard mulard et de canard de Barbarie. Ce mets, connu pour sa richesse en calories, subit une transformation notable lors du gavage. Originellement peu gras, le foie s’enrichit en lipides, ce qui diminue sa teneur en protéines et en eau.
Avec ses 460 kcal par 100g, le foie gras comprend une forte quantité de cholestérol (380mg) et divers types d’acides gras :
- Acides gras saturés : 2g
- Acides gras mono-insaturés : 25g
- Acides gras poly-insaturés : 5g
- Glucides : 6g
- Protéines : 10g
Il est donc perçu comme un aliment énergétique par excellence.
Les atouts majeurs du foie gras
Le foie gras est souvent perçu comme un aliment très gras et potentiellement mauvais pour la santé. Toutefois, il présente des avantages pour le bien-être, notamment car il est composé à 25% d’acides gras mono-insaturés bénéfiques pour la protection des artères et constitue aussi une bonne source de fer.
En toute modération !
Savourer le foie gras lors des célébrations telles que Noël ou le Nouvel An est une tradition, mais il est important de le consommer avec parcimonie pour éviter un excès de calories. Ce mets raffiné, parfait pour agrémenter les entrées, n’est cependant pas recommandé pour les personnes en surpoids, celles suivant un régime ou souffrant d’hypercholestérolémie où sa consommation est à proscrire.
La controverse entourant la pratique du gavage
Certains élevages offrent une vie plus naturelle aux oies, leur permettant de se déplacer librement et de s’alimenter à leur guise, sans partir en migration pour diverses raisons. L’impact sur la production est certes moins important qu’en élevage industriel, toutefois le respect du bien-être animal y est significativement amélioré. D’autre part, la pratique traditionnelle d’engraisser les oies par gavage est défendue par les producteurs comme étant un reflet des habitudes naturelles de ces animaux, qui accumulent des réserves avant de migrer. Cependant, les opposants au gavage soulignent que les conditions d’élevage ne permettent pas aux oies de vivre conformément à leurs instincts naturels, étant donné l’enfermement et le manque de liberté de mouvement, ce qui pose question quant à l’éthique du bien-être animal.
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