Calories d’un Jalebi
100g de Jalebi :
Dans ce plat, vous trouverez un apport énergétique de 330 Kcal, une faible teneur en protéines avec seulement 2 grammes. Les glucides sont bien présents à hauteur de 55 grammes – c’est un sacré coup de fouet pour l’énergie ! Quant aux lipides, ils se taillent une part raisonnable avec 10 grammes au compteur.
Combien de calories trouve-t-on dans le Jalebi ?
Le jalebi est un mets sucré couramment savouré au cœur du sous-continent indien, notamment en Inde, mais aussi au Népal et au Pakistan. Confectionné à partir d’un mélange de farine et aromatisé avec de la cardamome, ce délice est ensuite baigné dans un sirop à base de sucre et de miel avant d’être plongé dans l’huile bouillante.
Sa silhouette hélicoïdale lui confère une allure aussi attrayante que sa saveur est exquise. Croustillant à souhait, il titille les papilles par son goût intensément doux. Malgré son aspect irrésistible, le jalebi cache en son sein une densité calorique certaine : pour une portion standard de 100 grammes, on compte près de 330 calories – énergie principalement issue des glucides et des lipides contenus respectivement dans le miel, le sucre et la friture.
En résumé, bien que tentatrice par sa texture singulière et sa richesse gustative, cette pâtisserie nécessite une consommation modérée due à sa teneur élevée en sucres simples et graisses saturées.
Le jalebi, un dessert prisé
Le jalebi, cette pâtisserie spiralée et sucrée, dépasse les frontières de l’Inde pour charmer les papilles à l’échelle planétaire. Du Maghreb au Moyen-Orient, passant par des contrées africaines telles que Mayotte ou Zanzibar, ce mets trouve sa place sur diverses tables gourmandes.
Variété est le mot d’ordre lorsque l’on évoque le jalebi. Sous d’autres cieux, il se métamorphose en zlabia ou encore en zelabia, épousant ainsi l’héritage culturel local. Chaque région apporte sa touche personnelle à la confection de cette douceur orientale. À Béja comme à Boufarik, on découvre des variantes qui réinventent la forme traditionnelle en adoptant celle de bâtonnets ou autres silhouettes originales.
À travers ces quelques lignes s’esquisse un tableau où le jalebi est bien plus qu’une simple confiserie : il devient un symbole du partage culinaire entre nations et cultures, adaptable et apprécié aux quatre coins du monde.
D’où vient le jalebi ?
L’énigme entourant l’origine du jalebi alimente diverses anecdotes. Certaines évoquent un pâtissier andalou qui, suite à une maladresse transformée en désastre culinaire, aurait involontairement créé cette douceur. L’exclamation dépitée qu’il aurait poussée se serait muée en nom pour ce dessert accidentel.
D’autre part, la légende prête à Abdourrahman Ibnou Nafaâ Ziriab, personnage illustre de son époque et musicien de renom, la paternité d’une pâtisserie baptisée « el ziriabia ». Avec le temps, ce terme aurait subi des altérations linguistiques avant de se fondre dans l’appellation zlabia, synonyme aujourd’hui du jalebi. Ces récits demeurent toutefois teintés d’un voile d’incertitude historique.
Le jalebi dans une alimentation équilibrée
Le jalebi n’est guère l’allié des régimes alimentaires. Cette douceur, aussi irrésistible soit-elle, s’avère riche en sucres et assez calorique. En outre, elle affiche un Index Glycémique haut qui pourrait compromettre vos efforts de diète en favorisant l’accumulation de graisses. Il est donc judicieux de la délaisser si vous chérissez votre silhouette.
Lorsqu’il n’est pas question de régime, la consommation du jalebi devrait toujours se faire avec parcimonie. L’huile dans laquelle il baigne pendant sa friture peut être néfaste pour le cœur et les artères à long terme. De surcroît, croquer trop souvent dans des friandises au fort IG pourrait augmenter le risque de maladies telles que le diabète.
Cela dit, savourer un jalebi occasionnellement ne porte pas préjudice ; tout est une question d’équilibre et de fréquence.
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